En France chaque année, plus de 150 femmes meurent sous les coups de leur compagnon, près d’une femme sur dix est victime de violences conjugales. Des chiffres
En tant que femme, en tant qu’artiste, Claire Engel s’nterroge. Comment se perd-on de vue? Où se situer dans notre propre existence? Comment parler de l’invisible? Comment montrer l’inaudible? Pour tenter de répondre à ces questions, elle initie un cycle de créations sur ce sujet complexe: La femme qui marchait dans les portes.
Les étapes de réalisation du projet sont les chapitres d’une même histoire traitant chacun d’une facette du prisme des violences conjugales. Ce processus de création pose les principes étages des narrations où les formes s’écrivent par croisements.
Making up
Installation vidéo qui traite des émotions paradoxales cohabitant au sein d’une victime. Créée en 2010.
The man I Love
Les performances de rue
La femme qui
Forme théâtrale créée en 2012. La femme qui interroge le silence, entre dans la vie d’un couple amoureux, questionne son quotidien cabossé fait d’irrationnelles peurs et d’apparence. Et finalement fait entendre la voix d’une femme singulière.
La femme qui rdced
Nouveau Format du Projet La femme qui marchait dans les portes.
La femme qui Rdced est l’entrée en résonance du film Making up dans son installation (créé en 2010) et du monologue final du spectacle (créé en 2012).